Même si le coeur n'est pas à la fête, avec elle, personne ne peut y échapper, elle incarne une forme de contagion, contagion de bonne humeur. Ca doit être son sourire. Oui, je crois bien qu'on devrait tous avoir une Clarysse dans nos vies.
20.janvier.09. (22:45)
Rien qu'une fois. Une pause au moment où ils sont tous sous leur plus beau jour.
Alors qu'ils rient tous à pleine gorge, juste un flash, un arrêt sur image sur leur sourires figés,
pour que je puisse en apprécier toute la beauté.
Et puis, n'entendre plus que ces mélodies aux éclats de rire,
profiter simplement du bonheur qu'ils m'apportent.
M'abandonner à leurs rires contagieux et leur bonne humeur...
Un arrêt sur image sur ces moments si fréquents auquel on est souvent trop indifférent,
chaque jour pourtant, on pourrait faire de magnifiques tableaux.
21.décembre.08. (23:32)
Il va falloir que je rachète des mots et des tournures. Car aujourd'hui c'est bien, les images parlent à ma place. Elles prennent soin d'illustrés mes pensées, mes souvenirs et mes sentiments... Mais, les galeries ne peuvent s'éternisaient. Le public se lasse et les stocks s'épuisent. Il faudra bientôt reprendre la plume et espérer trouver un peu d'inspiration. En attendant j'en profite. Et aprés tout, peut être que c'est pour toutes les fois où j'aurais mieux fais de me taire.
27.août.08. (20:35)
J'ai rempli petit à petit la réserve. Je n'ai pas encore pris le temps de tout ranger, peu importe ce qui compte c'est que tout soit là. J'ai fais un bref tour de tout ce que j'ai entassé, tout est là, et je compte bien que tout y reste. Il m'en reste peut être d'autres à fabriquer avant la fin, mais j'ai à peu prés tout. A chaque fois, j'ai bien tout enregistré, j'ai flashé, sondé, attrapé, répertorié, fixé, chaque mouvement, chaque son, chaque odeur, chaque ambiance, chaque sentiment, cumulant ainsi, tout un tas de souvenirs.
<< Tant que le cœur conserve des souvenirs, l'esprit garde des illusions. >>
François René de Chateaubriand
François René de Chateaubriand
17.août.08. (17:05)
J'essaie de trouver les mots justes. Entre incertitude et sérénité, entre larmes de joie et sourires cassés, entre faux semblants et heures de vérités... Je fais glisser ma plume au fur et à mesure que les mots viennent à mes idées, j'effleure mes sentiments comme ma paume effleure le papier. Je me surprend alors à rêver, mon corps étendue quelque part loin de tout, à bien des années de tout ça, les yeux levés vers le ciel. Je ne suis pas seule. Il est toujours là, prés de moi. On rêve à deux, la tête vide et le cœur plein, entre amour et fragilité, entre bonheur et tranquillité, entre calme et volupté.
<< En avant